110 bornes, a peu près 2000 mètres de montée

A part une brève incursion près de l’eau, que des terres. Une succession de vallées à l’intérieur des terres.

Le soleil brille, le parcours dans les terres est magistral.

Pas trop un endroit pour planter sa tente, ou c’est la forêt qui te plante

Beauté des paysages, la nature survivaliste.

Les rivières n’étaient pas bien vaillantes à cette époque de l’année. Moins qu’en 2015

Mais c’est quoi ces 426 mètres de montée annoncés entre les kilomètres 1300 et 1310. Et pourquoi les voitures me klaxonnent quand je m’en approche ?

Bain lon bain voêr …

Hytte au bord du lac

… ah oui ok … je vois le genre …

Le kilomètre 1300

… on arrive dans un cul de sac entouré de grandes parois verticales avec des éboulements dans tous les coins.

C’est parti pour une heure de montée sur la vitesse 1 (utilisée très rarement – d’ailleurs cette vitesse est protégée par une serrure à double sécurité et bouton rouge). J’engage le protocole 😉

Ca monte à 9, 10, 14, 15% pendant de longues minutes. Les rennes me dépassent, suivis par les lapins. Puis c’est au tour des moustiques qui sont à la bonne vitesse pour m’attaquer. Ensuite les limaces qui me mettent un boulevard. Tout ça incorporé dans un paysage majestueux.

Ascension du soleil dans le ciel (je sais pas trop si on peut parler de lever parce qu’il se couche jamais vraiment …)

J’arrive en fin de journée dans un camping salvateur et prends une hytte pour la nuit.

C’est plus que partout ailleurs en Norvège un coin à pêche. Les poissons foisonnent sous l’eau. Il suffit de regarder la surface un instant pour en voir deux ou trois qui sautent de l’eau.

Une cabin de pêcheurs au camping

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